Aulu Gelle:
Nuits Attiques
, II, 22, 20
, Trad: René Marache
, 1969
, Paris
, Les Belles Lettres
C'est ainsi que mes compatriotes, les Gaulois, appellent un vent de leur pays, qui est extrêmement violent, Circius, en raison de son tournoiement, je pense et de ses tourbillons.