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Vous êtes dans Approfondissements > Le druidisme / Rites et classe sacerdotale : inventaire des textes anciens / Les sacrifices humains
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Approfondissements : le druidisme

Les sacrifices humains



  • Ammien Marcellin, Histoires, XXVII, 4, trad. personnelle.

Le territoire des Scordisques notamment, en faisait partie [de la Thrace], et il se rattache de nos jours à une province qui est en fait éloignée. Nos annales nous apprennent qu'elle était la brutale férocité de cette race, qui sacrifiait ses prisonniers à Mars et à Bellone, et buvait avec délice du sang dans des crânes humains.




  • Orose, Histoires, V, 16, 6, trad. Marie-Pierre Arnaud-Lindet, 1991, Paris, Les Belles Lettres.

Les ennemis [Cimbres, Teutons, Tigurins et Ambrons], maîtres des deux camps et d'un énorme butin, anéantirent tout ce dont ils s'étaient emparés dans un sacrifice expiatoire nouveau et insolite : les vêtements furent déchirés et abandonnés, l'or et l'argent jetés dans le fleuve [le Rhône], les cuirasses des combattants mises en pièces, les phalènes des chevaux détruites, les chevaux eux-mêmes noyés dans des tourbillons, les hommes pendus aux arbres par des lacets passés à leur cou, si bien que le vainqueur ne réalisait aucun butin, et que le vaincu ne connaissait aucune miséricorde.




  • Tite Live : Histoire romaine, XLI, trad. : Charles Nisard, 1869, Paris, Firmin-Didot.

Le butin qu'ils [les Ligures] ont fait à Modène devient l "objet de leur fureur ; ils font mourir leurs captifs qu'ils hachent en morceaux ; ils massacrent les bestiaux dans les temples, bien loin d'en faire des sacrifices réguliers ; puis rassasiés du sang des êtres vivants, ils s'en prennent aux choses inanimées et lancent contre les murs les vases de toute espèce, objet d'utilité plutôt que d'ornement et de luxe.




  • Pausanias, Description de la Grèce, X, 22, 3.

Les Galates tuèrent les plus potelés des nourrissons, burent leur sang et mangèrent leur chair.




  • Caius Julius Solin, Polyhistor, XXII, 1, trad. A. Agnant, 1847, Paris, Panckoucke.

Dans ce pays [la Gaule] dit-on (car je ne prends pas sur moi la responsabilité de cette assertion), il y a d'horribles sacrifices : au mépris de tout sentiments religieux, on immole des victimes humaines.




  • Tite Live, Histoire romaine, XXXVIII, 47, trad. Richard Adam, 1982, Paris, Les Belles Lettres.

Envoyez donc des ambassadeurs faire le tour de toutes les cités d'Asie, et demandez-leur quand elles ont été délivrées de l'esclavage le plus pénible, si c'est quand Antiochus a été chassé au-delà du mont Taurus, ou quand les Gaulois ont été soumis. Combien de fois leurs champs ont été dévastés, combien de fois on leur a pris du butin, voilà ce qu'ils vous diraient - alors qu'ils pouvaient à peine racheter les prisonniers, et qu'ils apprenaient le sacrifice de victimes humaines, l'immolation de leurs enfants !




  • Tacite, Annales, XIV, 29-30, trad. J.L. Burnouf, 1903, Paris, Hachette.

Après lui, les Bretons eurent pour gouverneur Suetonius Paullinus, que ses talents militaires et la voix publique, qui ne laisse jamais le mérite sans rival, donnaient pour émule à Corbulon. [...] L'île de Mona [Anglesey], déjà forte par sa population, était encore le repaire de transfuges: il se dispose à l'attaquer, et construit des navires dont la carène fût assez plate pour aborder sur une plage basse et sans rives certaines. Ils servirent à passer les fantassins; la cavalerie suivit à gué ou à la nage, selon la profondeur des eaux.

L'ennemi bordait le rivage: à travers ses bataillons épais et hérissés de fer, couraient, semblables aux Furies, des femmes échevelées, en vêtements lugubres, agitant des torches ardentes; et des druides, rangés à l'entour, levaient les mains vers le ciel avec d'horribles prières. Une vue si nouvelle étonna les courages, au point que les soldats, comme si leurs membres eussent été glacés, s'offraient immobiles aux coups de l'ennemi. Rassurés enfin par les exhortations du général, et s'excitant eux-mêmes à ne pas trembler devant un troupeau fanatique de femmes et d'insensés, ils marchent en avant, terrassent ce qu'ils rencontrent et enveloppent les barbares de leurs propres flammes. On laissa garnison chez les vaincus, et l'on coupa les bois consacrés à leurs atroces superstitions; car ils prenaient pour un culte pieux d'arroser les autels du sang des prisonniers et de consulter les dieux dans des entrailles humaines.




  • Pomponius Mela, Chorographie, III, 2, 18, trad. Louis Baudet, 1843, Paris, Panckoucke.

Elle [la Gaule] est habitée par des peuples fiers, superstitieux, et autrefois si barbares, qu'ils regardaient les sacrifices humains comme le genre d'holocauste le plus efficace et le plus agréable aux dieux. Cette coutume abominable n'existe plus, mais il en reste encore des traces: car, s'ils s'abstiennent d'immoler les hommes qu'ils dévouent, ils les conduisent néanmoins à l'autel, et les y déchirent avec les dents.




  • Plutarque, De la superstition, 13, trad. Jean Defradas, Jean Hari et Robert Klaerr, 1985, Paris, Les Belles Lettres.

N'aurait-il donc pas mieux valu pour les Gaulois de jadis et les Scythes n'avoir absolument aucune notion des dieux, aucune imagination, aucune tradition à leur sujet, que de penser qu'il existe des dieux qui se réjouissent du sang d'hommes égorgés et pensent que c'est là la perfection dans le rite et le sacrifice ?




  • Athénée, Les Deipnosophistes, IV, 160c.

D'après eux [les Celtes] c'est une coutume, quand ils gagnent une bataille, de sacrifier leurs prisonniers aux dieux ; ainsi, imitant les Celtes, j'ai juré aux pouvoirs célestes que je brûlerai sur un autel trois des ces faux dialecticiens.




  • Strabon, Géographie, IV, IV, 5, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

A la franchise, à la fougue se joignent chez ces peuples le défaut de sens, la fanfaronnade et le goût de la parure: ils portent des bijoux d'or, chaînes autour du cou, anneaux autour des bras et des poignets, et ceux qui sont dans les honneurs portent des habits d'étoffes teintes et brodées en or. Par suite de cette grande légèreté, ils se montrent insupportables dans la victoire, et abattus dans la défaite.

A leur manque de bon sens se rattache une coutume barbare, monstrueuse, inhérente au caractère des peuples du nord: au sortir du combat, ils suspendent au cou de leurs chevaux les têtes de leurs ennemis, et quand ils les ont apportées chez eux, ils les clouent dans les vestibules de leurs maisons. Posidonius dit avoir eu en maints endroits ce spectacle, qui d'abord, faute d'y être accoutumé, lui faisait horreur, mais qu'ensuite l'accoutumance le lui rendait supportable. Les têtes des personnages illustres étaient imprégnées d'huile de cèdre; on les étalait aux yeux des étrangers et l'on ne consentait pas à les rendre contre leur pesant d'or. Les Romains mirent fin à ces usages, de même qu'aux sacrifices et aux pratiques divinatoires en opposition avec nos institutions.

Ainsi un homme avait-il été voué aux dieux, on le frappait par derrière avec une épée de combat, et l'on devinait l'avenir d'après les convulsions du mourant; on ne sacrifiait jamais sans l'assistance des druides. I1 y avait encore, dit-on, d'autres espèces de sacrifices humains: ainsi parfois ils tuaient les victimes à coups de flèches, ou les crucifiaient dans leurs temples, ou bien encore ils fabriquaient un colosse avec du foin et du bois, y introduisaient des animaux domestiques et sauvages de toute sorte avec des hommes, et brûlaient le tout.




  • Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, V, 31, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

Ces hommes sont d'un aspect effrayant; leur voix a un son grave et des intonations tout à fait rudes; dans la conversation, leur parole est brève, énigmatique, procédant par allusions et sous-entendus, souvent hyperbolique, quand il s'agit de se grandir eux-mêmes et d'amoindrir les autres. Ils ont le ton menaçant, hautain, tragique, et, pourtant, l'esprit pénétrant et non sans aptitude pour les sciences. Il y a chez eux même des poètes lyriques, qu'ils nomment bardes: ces poètes accompagnent avec des instruments semblables à des lyres leurs chants qui sont tantôt des hymnes, tantôt des satires.

I1 y a aussi des philosophes et des théologiens à qui on rend les plus grands honneurs et qui se nomment druides. Enfin ils se servent de devins à qui ils accordent une grande autorité. Ces devins, c'est par l'observation des oiseaux et par l'immolation des victimes qu'ils prédisent l'avenir, et ils tiennent toute la population sous leur dépendance. Mais c'est quand ils consultent [les présages] pour quelques grands intérêts, c'est alors surtout qu'ils suivent un rite bizarre, incroyable. Après avoir consacré un homme, ils le frappent avec une épée de combat dans la région au-dessus du diaphragme, et quand la victime est tombée sous le coup, ils devinent l'avenir d'après la manière dont elle est tombée, l'agitation des membres et l'écoulement du sang. C'est un genre d'observation ancien, longtemps pratiqué et en qui ils ont foi.

La coutume est chez eux que personne ne sacrifie sans l'assistance d'un philosophe; car ils croient devoir user de l'intermédiaire de ces hommes qui connaissent la nature des dieux, et parlent on pourrait dire leur langue, pour leur offrir des sacrifices d'actions de grâces et implorer leurs bienfaits. Non seulement dans les nécessités de la paix, mais encore et surtout dans les guerres, on se confie à ces philosophes et à ces poètes chantants, et cela, amis comme ennemis. Souvent, sur les champs de bataille, au moment où les armées s'approchent, les épées nues, les lances en avant, ces bardes s'avancent au milieu des adversaires et les apaisent, comme on fait les bêtes farouches avec des enchantements. Ainsi chez les barbares les plus sauvages la passion cède à la sagesse et Arès respecte les Muses.




  • Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, V, 32, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

Ils sont, c'est une conséquence de leur nature sauvage, d'une impiété monstrueuse en leurs sacrifices. Ainsi ils gardent les malfaiteurs pendant une période de cinq ans, et puis en l'honneur de leurs dieux ils les empalent et en font des holocaustes en y joignant beaucoup d'autres offrandes, sur d'immenses bûchers préparés tout exprès. Ils se font aussi de leurs prisonniers de guerre des victimes pour honorer leurs dieux. Quelques-uns font le même usage des animaux qu'ils ont pris à la guerre, ils les tuent avec les hommes ou les brûlent, ou les font périr dans d'autres supplices.

Quoique leurs femmes soient belles et bien faites, ils ne les recherchent guère; mais ils ont une passion enragée, monstrueuse pour les plaisirs que donnent les mâles: ainsi d'habitude, dormant à terre sur des peaux de bêtes, ils s'y vautrent entre deux compagnons de lit. Mais ce qu'il y a de plus incroyable, c'est le peu de souci de chacun pour sa dignité personnelle, car ils livrent facilement à d'autres leur corps en sa belle saison, ne voyant à cela rien de honteux, et tout au contraire, si l'on ne veut pas recevoir les caresses qu'ils offrent, voyant dans ce refus un déshonneur.




  • Diodore de Sicile, Bibliothèque historique, XXXI, 13, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

Le général des Galates, revenu de la poursuite [des ennemis], rassembla les prisonniers et accomplit un acte d'un caractère bien barbare et d'une complète insolence : [il prit] les plus beaux [de ces captifs], les plus dans la fleur et dans la force de l'âge, et leur ayant mis une couronne, il les sacrifia aux dieux, si toutefois un dieu peut recevoir de tels hommages ; les autres, il les perça tous de traits ; plusieurs d'entre eux étaient connus de lui par des rapports d'hospitalité ; il n'eut pourtant par amitié compassion d'aucun d'eux. il n'y a rien d'étonnant à ce que les Barbares, dans des succès qui dépassent leurs espérances, se mettent au-dessus de l'homme par leur manière d'user de la prospérité.




  • Jules César, La guerre des Gaules, VI, 16, trad. Germaine Roussel, 1963, Paris, 10/18.

Tout le peuple gaulois est extrêmement religieux: aussi, ceux qui sont atteints de maladies graves, ceux qui prennent part aux risques des batailles, offrent-ils des sacrifices humains ou font-ils le vœu d'en offrir, par le ministère des Druides. Ils pensent, en effet, que le rachat d'une vie humaine par une autre vie humaine peut seul apaiser les dieux immortels: les cités ont des rites officiels du même genre. Certains peuples ont des mannequins de taille colossale, en osier tressé qu'ils remplissent d'hommes vivants; on y met le feu et les hommes périssent ainsi carbonisés. Le supplice des malfaiteurs surpris à voler, à commettre un acte de brigandage ou quelque crime passe, à leur avis, pour plus agréable aux dieux immortels; mais, faute de criminels, ils n'hésitent pas à sacrifier des innocents.




  • Pline, Histoire Naturelle, VII, 9, trad. Robert Schilling, 1977, Paris, Les Belles Lettres.

[…] tout récemment, les populations transalpines avaient coutume de sacrifier des hommes, ce qui n'est pas tellement éloigné de les manger.




  • Minucius Felix, Octavius, 30, 4, trad. Jean Beaujeu, 1964, Paris, Les Belles Lettres.

D'autre part, les habitants de la Tauride, sur la mer Noire, et l'Egyptien Busiris avaient pour coutume rituelle de sacrifier leurs hôtes, les Gaulois d'immoler à Mercure des victimes humaines, disons plutôt inhumaines ; un sacrifice romain consistait à enterrer vivants un Grec et une Grecque, un Gaulois et une Gauloise […].




  • Tertullien, Apologétique, IX, 5, trad. Jean-Pierre Waltzing, 1998, Paris, les Belles Lettres.

Chez les Gaulois, c'étaient des hommes faits qu'on sacrifiait à Mercure.




  • Tertullien : Scorpiace, VII.

De tout temps, on a pu apaiser la Diane scythique, le Mercure gaulois ou le Saturne africain par des victimes humaines.




  • Cicéron, La république, III, 9, 15, trad. Esther Briguet, 1980, Paris, Les Belles Lettres.

Que des gens, tels les Taures, sur l'Euxin, Busiris, roi d'Egypte, les Gaulois, les Carthaginois, se sont imaginé que sacrifier des victimes humaines était un rite pieu et extrêmement agréable aux dieux immortels.




  • Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines, Discours I, 38, trad. Edm. Cougny, 1986, Paris, Errance.

On dit aussi que les anciens accomplissaient en l'honneur de Cronos, comme on le fit à Carthage tant que subsista cette ville, comme on le fait encore chez les Celtes et chez quelques nations de l'Occident, des sacrifices homicides, que Héraclès voulant mettre fin à cette coutume barbare, etc…




  • Justin, Histoires philippiques extraites de Trogue Pompée, trad. Charles Nisard, 1864, Paris, Firmin-Didot.

Cependant Antigone [...] marche avec toutes ses forces contre les Gaulois. A cette nouvelle, les Gaulois se préparent au combat, en immolant des victimes pour interroger les auspices. Comme l'aspect des entrailles leur présageait un immense carnage et leur entière destruction, loin de s'en effrayer, ils entrent en fureur, et se flattent de détourner la menace des Dieux par le sang de leurs proches; ils massacrent leurs femmes et leurs enfants, et commencent l'accomplissement de la prédiction par le parricide. Une telle rage s'était emparée de ces âmes féroces, qu'ils n'épargnèrent pas même ceux dont l'âge est respecté par l'ennemi: ils firent à leurs enfants, aux mères de leurs enfants, cette guerre d'extermination qu'on ne fait d'ordinaire que pour les défendre.

Alors, comme assurés par ce crime de la vie et de la victoire, tout souillés du sang des leurs, ils marchent au combat. L'événement répondit au présage. Pendant l'action, et déjà la proie des furies vengeresses, avant d'être celle de l'ennemi, poursuivis par les spectres ensanglantés de leurs victimes, ils périssent tous jusqu'au dernier. Ce carnage fut tel, que les Dieux semblaient avoir agi de concert avec les hommes pour exterminer ces parricides.




  • Lucain : La guerre civile (Pharsale), I, 441-446, trad.: A. Bourgery, 1926, Paris, Les Belles Lettres.

Toi aussi, tu t'es réjoui que les combats aient changé de théâtre, Trévire, et toi, Ligure, maintenant rasé, gracieux jadis avec tes cheveux flottants sur la nuque et préféré à toute la Gaule chevelue, et ceux qui apaisent par un sang horrible le féroce Teutatès, le hideux Esus dans ses sauvages sanctuaires, Taranis aux autels non moins cruels que ceux de la Diane scythique.




  • Scholies bernoises sur Lucain, La guerre civile.

à I 445 : Sanguine diro Teutates horrensque feris altare) Mercure est appelé dans la langue des Gaulois Teutates, celui que est honoré par du sang humain. Teutates ainsi est appelé Mercure qui est honoré chez les Gaulois par des victimes humaines. Ainsi est honoré Mercure Teutates chez les Gaulois : un homme est précipité tête en avant dans un tonneau plein afin qu'il suffoque. Esus Mars est honoré de cette façon : un homme est suspendu dans un arbre jusqu'à ce que ses membres se détachent. Taranis Dis Pater est honoré de cette façon : quelques hommes sont brûlés dans un baquet en bois.

Nous trouvons cela exposé d'une manière différente chez d'autres auteurs. Teutates Mars est honoré d'un sang terrible, soit parce que les batailles sont organisées par la divinité selon sa propre inspiration divine, soit parce que les Gaulois jadis étaient accoutumés à immoler pour d'autres dieux des hommes aussi. Ils croient en un Esus Mercure, si celui est honoré par les commerçants, et ils tiennent Taranis Jupiter pour le dieu qui préside à la guerre, et des plus grands dieux du ciel ; il était accoutumé jadis à recevoir en offrande des têtes humaines, maintenant il se contente de bétail.




  • Lactance : Institutions divines, XXI, 3, trad.: Pierre Monat, 1986, Paris, Cerf.

Les Gaulois apaisaient Esus et Teutates par du sang humain.




  • Varron, dans Saint Augustin, La cité de Dieu, VII, 19, trad. L. Moreau, 1936, Paris, Garnier.

Varron ajoute que dans certains pays, comme à Carthage, des enfants lui étaient immolés; les Gaulois lui [Saturne] sacrifiaient même des hommes parce que, de toutes les semences, le genre humain est la plus excellente.

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